Syndrome de l'imposteur

SYNDROME DE L’IMPOSTEUR

 Le syndrome de l’imposteur, ça vous parle ? Voici 6 façons efficaces pour le mettre à distance

le syndrome de l’imposteur ?

Vous arrive-t-il de vous sentir illégitime lorsque vous devez prendre la parole en public ? Avez-vous une fâcheuse tendance à vous dévaloriser par rapport aux autres ? Est-ce que parfois, en réunion, dans une assemblée ou en groupe, vous ne vous sentez pas à votre place ?

Vous êtes peut-être sujet au syndrome de l’imposteur. Alors pas de panique, cela n’a rien d’une pathologie. Voyons ensemble de quoi il s’agit. Découvrons comment le détecter, et surtout, quelles sont les meilleures façons de s’en défaire. Ceci vous permettra alors de libérer votre parole et de vous sentir plus confiant.

Syndrome de l’imposteur : kesako ?

Comment se définit le syndrome de l’imposteur ?

Le syndrome de l’imposteur a été mis en lumière en 1978 par les psychologues Pauline Rose Clance et Suzanne Imes. La personne atteinte de ce syndrome entretient l’idée d’être incompétente. Ellet met systématiquement en doute la valeur de son travail ainsi que ses accomplissements. Elle estime qu’elle ne mérite pas les honneurs ou situations avantageuses qu’on lui attribue. Selon sa perception, ses réussites seraient principalement dues à un concours de circonstances plutôt qu’à ses propres mérites. Les personnes atteintes du syndrome de l’imposteur ont développé une propension à nier leurs atouts. Ainsi, elles doutent systématiquement de leur niveau de compétence, de la qualité de leur travail ou encore de l’ampleur de leur talent.

Quelles sont les conséquences du syndrome de l’imposteur ?

Se pensant sur-estimées par ceux qui reconnaissent leurs aptitudes, ces personnes peinent à accepter les compliments.  Leur plus grande inquiétude est d’ailleurs que leur “supercherie” soit démasquée. Elles craignent que leur incompétence présumée soit révélée au grand jour.

Ce syndrome est responsable d’un sentiment d’infériorité et d’une aptitude à s’auto-dévaloriser. Il serait le résultat d’une dichotomie entre la perception que l’on a des autres et le regard que l’on porte sur soi-même.

Ce syndrome est souvent générateur de stress, d’anxiété, de sentiments de culpabilité ou encore de honte.

Qui est concerné par ce syndrome de l’imposteur ?

La psychologue Pauline Rose Clance est revenue des années plus tard sur le terme “syndrome”. Elle estime qu’il ne s’agit pas d’une pathologie, mais d’une façon d’expérimenter certaines situations de notre vie. Aussi, tout le monde peut être amené à l’expérimenter à un moment donné. Ainsi, que vous soyez chef d’entreprise, travailleur débutant, doctorant, artiste, ingénieur, entrepreneur, étudiant… vous pourriez vous aussi y être confronté. Selon les études réalisées pour the Impostor Syndrome Institut, 70 à 84 % de la population serait concernée.

syndrome de l'imposteur, personne qui se cache de honte et culpabilité
Le syndrome de l’imposteur nous pousse à nous cacher de peur d’être démasqué

Et alors, d’où vient exactement le syndrome de l’imposteur ?

Plusieurs éléments liés à notre environnement peuvent mener à développer le syndrome de l’imposteur. Les principaux facteurs à l’origine de ce complexe sont :

  • Les facteurs familiaux
  • Les facteurs sociétaux
  • Les facteurs professionnels

Les facteurs familiaux

Il arrive qu’un parent mette beaucoup d’enjeux et de pression sur les résultats scolaires et pluridisciplinaires de son enfant. Celui-ci pourrait alors développer des sentiments d’insatisfaction récurrents face à ses propres réalisations. Être conditionné à devoir en faire toujours plus peut faire émerger une tendance au perfectionnisme. À cela s’ajoute la désagréable sensation de ne jamais en faire assez.

Les rapports dans les fratries peuvent aussi faire naître des compétitions et/ou comparaisons. Il peut en découler un sentiment d’insécurité qui perdurera avec l’âge. Cette insécurité sera à l’origine d’un besoin fréquent de se comparer aux autres.

Les facteurs sociétaux

Les préjugés sociétaux et les stéréotypes sont souvent source de malaises. Ceux qui les subissent en viennent à développer un sentiment de non-appartenance.

La question de l’âge

On peut se considérer trop jeune ou trop âgé dans un cadre donné. Cela peut rendre difficile le sentiment de crédibilité lorsque l’on prend la parole. Les préjugés liés à l’âge, peuvent faire penser qu’il faut avoir atteint un certain âge pour pouvoir traiter certains sujets. Les stéréotypes sur l’âge concernent aussi l’accession à certains types de postes. Je travaille souvent avec des jeunes managers qui peinent à se sentir légitimes dans leur fonction. La communication avec leurs équipes ou leurs supérieurs hiérarchiques peut leur sembler compliquée en raison de leur âge.

La question du genre

Les femmes sont particulièrement concernées par la question du genre. Combien de fois n’ai-je pas entendu des femmes me faire part de leurs difficultés à se sentir légitimes. En tant que femme, elles ne se sentent pas à leur place pour s’exprimer face à leurs collègues. Les croyances et ressentis relayés dans l’inconscient collectif poussent certaines femmes à penser qu’elles n’ont pas droit à la parole, ni à être écoutées ou reconnues. Elles sont convaincues qu’elles n’ont pas le droit à l’erreur et qu’elles risquent d’être jugées plus sévèrement. Le Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes enquête sur l’état du sexisme en France. Dans leur rapport de 2023, il est stipulé que 80% des femmes estiment être moins bien traitées que les hommes en raison de leur sexe.

À noter cependant que, d’une façon générale, le syndrome de l’imposteur toucherait tout autant les hommes que les femmes. Ceci a été reconnu, contrairement à ce qui avait été établi lorsqu’on a commencé à parler du syndrome d’imposture.

Masques de dissimulation
Masques que l’on revêt pour cacher qui on est réellement

La question des minorités

Appartenir à un groupe minoritaire (ethnique, orientation sexuelle, condition physique…) peut être source d’inconfort. Dans certaines situations, cela peut créer le sentiment qu’il faut en faire beaucoup plus que les autres. On pense devoir en faire plus, pour prouver sa valeur, se sentir accepté et validé. Il s’agit de la résultante des préjugés créés et entretenus par la société sur les groupes et communautés qui sont différents.

Chika Stacy Oriuma est une femme médecin noire qui a étudié la médecine à la faculté de l’Université de Toronto. Dans une interview réalisée en 2019 pour le site cma.ca, (carrefour-des-medecins) elle raconte que lors de sa première année d’intégration lui ont été posées les questions suivantes : “est-ce qu’on m’avait donné un coup de pouce pour entrer en médecine, si on avait abaissé les critères, ou pris des mesures spéciales”. Elle savait bien qu’elle n’avait pas eu de traitement de faveur. Mais ces questions l’ont fait douter de son appartenance à cette profession. Elle ajoute ensuite “Je sentais une obligation de représenter ma race. Je ne me donnais donc pas le droit à l’erreur et ça a aggravé mes tendances perfectionnistes”.

À un moment donné, elle a commencé à ressentir des signes de dépression. C’est donc avec un thérapeute qu’elle s’est faite aider pour faire le point sur ce qu’elle vivait. Désormais médecin, elle a obtenu son diplôme en 2020. Elle a ainsi été choisie pour prononcer le discours d’adieu de sa promo à la faculté de médecine.

Le niveau d’étude

Certaines personnes ont pu développer de solides compétences en tant qu’autodidactes. Elles ne sont pas passées par le circuit des grandes écoles et autres cursus  pour obtenir des diplômes. Et parfois, cela peut susciter chez elles un sentiment d’infériorité face aux personnes diplômées. Récemment encore, j’ai travaillé  avec une femme qui n’a pas de diplômes. Elle a évolué au fil des ans dans sa société. Dans le cadre de sa nouvelle fonction, elle doit faire régulièrement des présentations face à ses collègues. Jusqu’à notre rencontre, elle était persuadée qu’elle ne serait pas prise au sérieux, ni légitime face à ses collègues diplômés.

Le complexe d’infériorité des autodidactes est principalement dû à un certain mode de fonctionnement du système sociétal. Celui-ci a tendance à valoriser et reconnaître davantage les compétences des diplômés à celles acquises par l’expérience et le développement des connaissances sur le terrain.

Personne à part
Lorsque l’on se sent différent des autres ou pas à sa place…

Les facteurs professionnels

Démarrer un nouveau poste à responsabilité peut être à l’origine d’une grande pression. Il faut un certain temps pour emmagasiner l’ensemble des données nécessaires pour pouvoir faire son travail sereinement. Dans les premiers temps, cela peut faire émerger un sentiment de doute et d’incertitude quant à ses aptitudes. L’habilité à s’affirmer dans son travail et face à ses collègues s’en trouve alors grandement affectée.

Le Dr Valerie Young est co-fondatrice de ‘The Impostor Syndrome Institut’. Selon elle, 97% des personnes issues des milieux créatifs et artistiques sont sujets au syndrome de l’imposteur. Ainsi les agences de publicité, les graphistes, les chanteurs, les conférenciers, les chefs d’entreprise, etc… n’y échapperaient pas. Des acteurs tels que Jodie Foster, Tom Hanks, Viola Davis témoignent avoir expérimenté ce phénomène. L’écrivaine Maya Angelou redoutait à chaque sortie de livre que l’on découvre son absence de talent. L’une des raisons est que ces métiers sont soumis en permanence aux jugements de professionnels dont les critères peuvent être subjectifs. Cela s’explique aussi par les comparaisons permanentes qui sont faites entre pairs.

Comment dézinguer le syndrome de l’imposteur ?

Pour commencer, il importe de prendre conscience que tout se passe au niveau de notre perception. En effet, celle-ci n’est pas toujours des plus objectives. On va donc s’atteler à remodeler notre mode de perception de façon à ce qu’elle nous soit plus favorable.

Pensez comme les “non-imposteurs”

Ayez bien à l’esprit que les personnes qui ne se considèrent pas comme des imposteurs ne sont ni plus intelligentes, ni plus brillantes ou compétentes que vous ne l’êtes. La seule différence avec vous est qu’ils pensent différemment.

Face à l’échec par exemple, une personne atteinte du syndrome de l’imposteur aura tendance à ressentir de la culpabilité, de la honte voire du dépit. Tandis que les “non-imposteurs” savent qu’ils ne peuvent pas réussir partout et tout le temps et ils sont OK avec cette idée. L’impact psychologique est moindre pour eux car ils savent que l’erreur est une possibilité et que cela n’enlève rien à leur valeur.

L’expérience de Michelle Obama

Dans une vidéo pleine d’humour, Michelle Obama nous parle de son expérience avec le syndrome de l’imposteur. Elle explique qu’il est lié à un mode de pensée que l’on entretient dans son esprit. Si on nous a répété ou fait comprendre que l’on était pas assez bon, pas à notre place, etc… ce mode de pensée va s’inscrire dans notre esprit.

Elle raconte que c’est une idée qui lui a souvent été inculquée tout au long de sa carrière. Lorsqu’elle a intégré Princeton, on lui a notamment fait comprendre que ce n’était pas fait pour elle. Elle a par la suite siégé dans des assemblées auprès de personnes puissantes avec des avocats, des universitaires, dans des associations et bien sûr au gouvernement. Elle pensait au départ ne pas être à sa place jusqu’à ce qu’elle se rende compte qu’au final c’était l’homme assis à côté d’elle, celui qui n’arrêtait pas de parler, qui n’était pas à sa place ! Comme on a laissé croire à cet homme qu’il était à sa place bien que ce ne soit pas le cas, il se sentait parfaitement légitime pour prendre la parole. Bien qu’il n’ait pas été à sa place, il a su entretenir l’idée que c’était le cas pour se sentir suffisamment à l’aise face aux autres.

Vidéo de Michelle Obama

Valerie Young nous explique que la première chose à faire consiste à remodeler les messages d’imposteur que l’on entretient pour apprendre à penser comme un “non-imposteur”. Apprenez à identifier ces messages afin de les refaçonner selon le mode de pensée d’une personne qui se croit ou qui se sait être à sa place.

Vous n’avez pas à vous sentir confiant pour avoir l’air confiant, mais vous devez pensez que vous l’êtes.  Valerie Young

Stoppez votre combat intérieur contre vous-même

Lorsque l’on souhaite agir sur un comportement qui nous pose problème, le meilleur moyen d’échouer est de se formuler des injonctions répétitives et oppressantes. Les fameux “il faut”. Si on prend l’exemple de la personne qui veut perdre du poids, il suffit qu’elle se dise : ”il faut que je fasse des efforts” pour créer un stress qui lui donnera probablement encore plus envie de manger. De même, on sait l’inutilité de vouloir consoler une personne en lui disant “ne sois pas triste” ou encore celle de chercher à en calmer une autre en lui disant “arrête de t’énerver !”

Se battre contre ses penchants, ses émotions et ses besoins ne font que les renforcer et accentuer notre malaise. Ainsi, se dire “qu’il faut être moins stressé”, “être moins perfectionniste”, “lâcher prise”, “prendre sur soi”… n’aidera pas, bien au contraire.

En 3 points :

  • Acceptez dans un premier temps que votre syndrome d’imposteur rend certaines situations plus complexes sans vous culpabiliser.
  • Apprenez à reconnaître les situations qui déclenchent votre sentiment d’imposture et prenez conscience de ce qu’elles induisent chez vous.
  • Observez le discours intérieur qui se met place, les émotions qui s’éveillent et le comportement qui en découle. Il peut s’agir d’une situation qui vous pousse à travailler toujours plus, à aller dans les détails. Acceptez alors que cela vous conduit à être dans la précision. Ce côté perfectionniste est le moyen que vous avez mis en place pour vous procurer un sentiment de sécurité face au sentiment d’illégitimité.

Modifiez d’abord votre discours intérieur, comme vu au chapitre précédent afin d’apaiser vos émotions. Vous pourrez ensuite naturellement, “lâcher prise” sur votre besoin d’en faire plus qui n’est qu’un moyen de vous rassurer.

Au lieu de combattre vos émotions et vos penchants, remodelez d’abord votre mode de pensée. Cela contribuera à apaiser vos ressentis puis à agir différemment.

Les ressentis changent une fois les pensées transformées. Valerie Young

changer son mode de pensée pour apaiser ses émotions
Conduire et remodeler les pensées de son cerveau pour apaiser ses ressentis

Sortez de la présomption du jugement d’autrui

On ne va pas se mentir, il existe ce qu’on appelle des “mauvaises langues”, des gens qui médisent, qui jugent et qui parfois peuvent être très cassantes. Lorsque les remarques sont agressives et/ou non constructives, elles peuvent être très blessantes. Elles sont généralement le fruit de personnes malveillantes, maladroites ou mal intentionnées. D’ailleurs Internet regorge d’illustrations de ce genre d’individus !

Cependant, il serait bon de reconnaître que la plupart des jugements que nous redoutons sont ceux que nous nous adressons à nous-même. Dans la plupart des cas, les gens avec qui je travaille sont prêts à reconnaître que leur auditoire est généralement plutôt bienveillant. En fait, votre public a tout autant envie que vous que votre présentation se passe bien. Il est là pour apprendre des choses, avoir des informations, passer un bon moment. Contrairement à ce que vous pouvez imaginer, les autres ne passent pas autant de temps que cela à vous observer pour vous évaluer.

Détournez votre esprit des critiques potentielles en vous concentrant sur votre message. Vous focaliser sur votre message et sa portée vous aidera à vous défaire de la crainte du jugement.

Mettez un frein aux comparaisons avec les autres

C’est bien connu, l’herbe semble toujours bien plus verte chez le voisin. Comme nous le savons à présent, le syndrome de l’imposteur met en place un mécanisme dans notre esprit qui nous laisse penser que l’autre est toujours meilleur, plus légitime, plus méritant, etc…

Cependant, à l’instar des jolis comptes Facebook ou Instagram, il est facile de se méprendre sur la réalité des autres. Cette méprise vient de notre ignorance concernant les informations moins enviables sur ces personnes qui ne sont pas portées à notre connaissance.

La tendance à s’auto-dévaloriser pousse à envier chez l’autre les qualités dont nous pensons manquer, comme preuve de notre “infériorité”. Or, cette façon de considérer l’autre, lorsque nous nous comparons à lui, ne prend pas en compte l’ensemble de sa réalité qui nous échappe. Nous n’avons qu’une perception biaisée et subjective qui nous mène à interpréter les choses en notre défaveur, rapport à notre ressenti.

Aussi, admettons qu’étant vous, il n’est pas très logique de vous comparer à une personne qui n’est pas vous, qui n’a ni la même histoire, ni le même parcours, ni la même identité, ni les mêmes opportunités et possibilités… Nous sommes tous différents avec des forces, des qualités, des faiblesses, des talents, des ressources et des capacités qui nous sont propres.

Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera toute sa vie à croire qu’il est stupide.  Albert Eisntein

Rivalisez avec vous-même et non avec les autres !

être soi-même
Faire les choses à sa façon et être soi-même

Développez un regard plus objectif sur vous-même

J’ai remarqué que lorsque je demande aux personnes avec qui je travaille de faire une auto-évaluation après un exercice, sont principalement listés des points qui leur semblent négatifs. Je dois alors reformuler ma question en demandant “selon toi, qu’est-ce que tu as fait de bien ?”.

Il est important d’apprendre à réorienter cette vilaine tendance qui nous conduit à ne regarder que les éléments négatifs nous concernant.

Commencez par lister l’ensemble de vos réussites, accomplissements et compétences, tout ce qui vous concerne et vous procure un sentiment de fierté et de satisfaction. Allez à la recherche de vos talents et mettez les en œuvres. Ainsi, vous parviendrez à faire remonter votre estime de soi qui se trouve quelque peu écorchée par le syndrome de l’imposteur.

Accueillez et acceptez les regards et retours bienveillants

Le sentiment d’imposture rend difficile l’acceptation des remarques positives et des compliments. Considérez cependant que les personnes qui vous veulent du bien porteront d’emblée un regard bien plus objectif sur vous que la petite voix intérieure qui vous sabote. Prenez conscience de votre propension à rejeter les propos positifs à votre égard. Commencez progressivement à les considérer comme étant des observations réalistes de vos véritables aptitudes.

Pour aller plus loin : Trac, Glossophobie: comment dépasser ses peurs…

Conclusion

Femme légitime qui a vaincu le syndrome de l'imposteur
Prendre sa place et l’occuper pleinement

A l’instar de Michelle Obama, je conclurai sur les mots suivants :

  • Prenez les places qui vous appellent et où on ne vous attend pas et occupez les pleinement.
  • Soyez totalement vous-même en sachant que vos idées, vos expériences et vos valeurs sont importantes et méritent d’être partagées.
  • Entraînez-vous à être là et à faire entendre votre voix !

Et pour vous, quand et comment se manifeste le syndrome de l’imposteur ?

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